J'ai remarqué que ma belle-sœur Michele avait du mal après le décès de notre grand-père, mais je n'avais pas réalisé l'ampleur de son chagrin. Je suis entré dans sa chambre pour la trouver encore en larmes, alors que notre famille organisait un rassemblement en sa mémoire. J'ai consolé Michele, lui assurant que notre grand-père était désormais en paix.
Je lui ai proposé de l'aider à se détendre et ai commencé à lui masser les pieds. À ma grande surprise, elle s'est levée et s'est déshabillée devant moi. Les gens font face au deuil de différentes manières, et il semblait que ma belle-sœur cherchait du réconfort dans la connexion physique.
Avec empressement, j'ai participé à un moment intime avec elle, attiré par sa silhouette attrayante et bien formée. Notre escapade a dû être trop bruyante, car nous avons été interrompus par mon beau-père, qui nous a innocemment offert de la glace. Maintenant, je me retrouve dans une situation délicate, ayant besoin d'expliquer notre moment d'intimité peu orthodoxe.